Okapi 1106 : connais-tu vraiment tes parents ? Et vice versa… Le grand jeu de la vérité…

Okapi  1106 : connais-tu vraiment tes parents ? Et vice versa…

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Tes parents, tu les vois tous les jours, ils te voient tous les jours, mais qu’est-ce que vous savez vraiment les uns des autres ? Découvre-le dans le nouvel Okapi !

On a soumis un questionnaire à trois duos. Chacun a répondu sans entendre les réponses de l’autre !  Plus grande qualité, pire défaut, sa passion, son expression favorite… Sont-ils sur la même longueur d’onde ou, au contraire, complètement à côté de la plaque ?

Révélations garanties dans le Planète ados !

© Mauro Mazzari

Ça fait suer !

La transpiration, ça gâche la vie ? Même si c’est souvent gênant, ce processus est pourtant naturel est très utile ! Savais-tu que notre corps est recouvert de 3 millions de glandes sudoripares (qui sécrètent la sueur) ???
Décryptage en dessin dans le Décodage !

© Eric Buche

En mode extrême

Des montagnes aux déserts en passant par les abysses, la nature met de la vie partout. Mais dans le froid, la chaleur, les profondeurs et l’altitude… les conditions d’existence relèvent parfois de l’exploit ! Zoom sur les animaux les plus coriaces de la faune planétaire dans la partie Dossier !

Le moment culture

Okapi a rencontré Jeff Kinney, l’auteur américain du Journal d’un dégonflé. Et Greg, l’ado de son roman au succès planétaire…c’est un peu lui ! Retrouve son interview à la fin du mag !

Et bien sûr RDV à la fin du mag pour les On se dit tout, ainsi qu’un super tuto pour devenir un pro en électricité et t’éviter de mettre tes lampes à la poubelle.

Bonne lecture !

https://blog.okapi.fr/blablaclub/okapi-1106-connais-tu-vraiment-tes-parents-et-vice-versa-7787.html

Une assiette im-pec-ca-ble ! Vivre de burger végé et d’herbes du jardin… Love !

Une assiette  im-pec-ca-ble !

#ecologie#Planète#Environnement#Gaspillage#Adème#We demain#Phosphore#Okapi

L’autre enjeu à ta portée pour protéger la planète (et la sauver, pourquoi pas…), c’est lutter contre le gaspillage alimentaire. À la cantine, c’est jouable par des gestes et de nouvelles habitudes à adopter.

À présent, tu as bien compris que tu peux resté(e) stylée sans pour autant faire tourner à plein régime l’industrie textile. Mais, peut-être que cela ne te suffit pas ? Peut-être as-tu envie de t’impliquer encore davantage ? Facile !

À ton niveau – on ne te demande pas de tout mettre “cul par-dessus tête” (si si c’est une expression du 15e siècle…;) dans ta maison et dans ta vie – tu peux aussi apporter ta pierre à l’édifice dans ton quotidien. Et où vas-tu chaque jour ? A la cantine ! Eh bien, dans les cantines, il y a des tas d’initiatives à mettre en place (calculer le pain qui est jeté chaque semaine, troquer des aliments avec d’autres collégiens, organiser un compost qui nourrira la terre des tomates que tu cultiveras au printemps…). Lis (ci-dessous) les conseils de l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise d’énergie) et pioches-y les idées que tu trouves jouables.



https://blog.okapi.fr/ca-buzze/une-assiette-im-pec-ca-ble-7778.html

HISTOIRE(S) DE CRÊPES

Ah, les crêpes… Souvenirs de la Chandeleur et des goûters de l’enfance ! Si nous les aimons tant, c’est qu’elles nous régalent depuis belle lurette et séduisent toute la famille.

Les historiens établissent l’origine de la crêpe à 7000 avant Jésus Christ. A cette époque, il s’agissait d’une galette assez épaisse, réalisée  avec une pâte mêlant de l’eau et diverses céréales écrasées. Une pierre plate, bien chaude, permettait la cuisson.

En Bretagne, c’est au XIIIe siècle que la crêpe a fait son apparition. Le sarrasin, rapporté en France après les croisades en Asie, a permis de confectionner cette fine couche de pâte, de forme ronde. C’est le début de la galette bretonne ! Car nos crêpes salées sont toujours préparées avec de la farine de sarrasin, aussi appelée farine de blé noir. L’avantage de cette farine est d’être sans gluten.

La galette de sarrasin est à distinguer de la crêpe sucrée, pour laquelle on utilise de la farine de froment, du lait, des œufs, du beurre. Mais dans les deux cas, la préparation gagne en gourmandise avec sa garniture ! A « La Petite Bretonne », nous mettons la main à la pâte pour imaginer des recettes savoureuses et authentiques, qui ont le bon goût de la Bretagne… Ou d’ailleurs.

Car la crêpe a l’âme voyageuse. On la retrouve partout à travers le monde, avec de petites variantes. Pensez au fameux pancake américain, plus petit et épais, au mignon blini issu des Pays de l’Est, ou encore à la tortilla mexicaine, préparée avec de la farine de maïs. Notre crêpe nationale est aussi cousine de la piadine italienne ou du baghrir magrébin.

Un conseil de « La Petite Bretonne » : La prochaine fois que vous ferez sauter des crêpes dans votre poêle ou crêpière, placez une pièce de monnaie dans votre main. Prospérité assurée, pour le reste de l’année… C’est du moins ce que disaient les anciens !

https://www.creperie-petite-bretonne-paris.fr/

Pourquoi fait-on des crêpes à la Chandeleur ?

Pourquoi mange t-on des crêpes à la chandeleur ?

La fête de la chandeleur se tient tous les ans à la même date, le 2 février.

Mais pourquoi mange-t-on des crêpes ?

Cette fête est avant tout religieuse. En effet, elle est célébrée chaque année 40 jours après Noël, jour de la présentation de l’enfant Jésus au Temple. Le nom « Chandeleur » provient à l’origine des « chandelles », traditionnellement utilisées à cette occasion. Dans les églises, elles sont bénies, viennent remplacer les torches et sont conservées allumées pour signifier la lumière, la pureté et éloigner le mal. Les fidèles en ramènent souvent une chez eux et l’exposent à leur fenêtre le 2 février.

La forme ronde et la couleur dorée des crêpes représentaient le disque solaire et le retour à la lumière.  En effet, en ce début du mois de février, les jours commencent progressivement à rallonger. La consommation de crêpes serait donc un hommage au cycle de saisons et plus précisément à l’arrivée du Printemps qui annonce des jours meilleurs.

Cette fête est également accompagnée de superstitions. Si les paysans ne faisaient pas de crêpes à la Chandeleur, le blé serait mauvais l’année suivante. Pour être assuré que la récolte sera bonne et les finances prospères, ils se devaient de retourner la première crêpe en la jetant en l’air de la main droite en tenant un Louis d’or dans la main gauche, en veillant à ce qu’elle retombe parfaitement dans la poêle. La crêpe était ensuite déposée en haut d’une armoire.

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